Glossaire

La biodiversité désigne l’ensemble des êtres vivants, comme les plantes, les animaux et les lieux où ils vivent. Elle inclut également les processus naturels qui contribuent à maintenir ces êtres vivants et leurs habitats en bonne santé.

Nos espaces verts et couloirs naturels sont toutes les zones de Winnipeg où poussent de l’herbe, des arbres et d’autres végétaux plantés ou naturels.  

Les espaces verts de Winnipeg peuvent être des terrains publics ou privés, tels que des jardins résidentiels et des terrains de golf privés. En voici quelques exemples :

• Parcs
• Cours d’école
• Terrains de golf
• Berges
• Cimetières
• Forêts
• Cours
• Installations de gestion des eaux pluviales telles que les bassins de retenue
• Sentiers
• Terre-pleins
• Autres aires naturelles telles que les prairies, les prés ou les zones humides

Les couloirs naturels sont des espaces naturels interconnectés qui favorisent la circulation des personnes, des espèces végétales et animales et qui contribuent à accroître la biodiversité. Les rivières et les ruisseaux, les couloirs de services publics et les rues bordées d’arbres sont des exemples de couloirs naturels.

L’Engagement de Montréal est un engagement pris par les villes et les gouvernements locaux pour agir contre le changement climatique et protéger la biodiversité et les écosystèmes. Il encourage les villes à en faire plus pour protéger l’environnement et énumère 15 actions claires pour aider à la conservation. L’engagement encourage également la collaboration et la prise de décisions qui incluent tout le monde.

Un rapport sur l’état des lieux est un résumé qui décrit l’état actuel d’une zone particulière, en examinant à la fois les caractéristiques naturelles et artificielles. Il met en évidence des éléments tels que la santé des écosystèmes, l’utilisation des terres et tout changement au fil du temps. Il est souvent utilisé pour guider les efforts de planification ou de conservation. 

Pour ce projet, le rapport examinera également les politiques d’utilisation des terres et les pratiques de gestion qui affectent les conditions actuelles.

La double perspective (Etuaptmumk) est un concept introduit par Albert Marshall, un aîné mi’kmaq. Il s’agit de combiner les forces des savoirs autochtones et occidentaux pour comprendre le monde de manière plus complète.

• Un « œil » représente la perspective autochtone, qui se concentre sur les relations, l’interdépendance et les connaissances traditionnelles transmises par les expériences vécues et la spiritualité.
• L’autre « œil » représente la science occidentale, qui se concentre sur les faits, les preuves et la technologie.

En utilisant les deux perspectives ensemble, la double perspective encourage le travail d’équipe respectueux, les nouvelles idées et une manière équilibrée d’aborder des questions telles que la conservation de l’environnement, l’éducation et les soins de santé.